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 Le serpent, cet inconnu

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MessageSujet: Le serpent, cet inconnu   Le serpent, cet inconnu Icon_minitimeDim 22 Mar - 20:36

Le serpent, cet inconnu F4sdjkp6


Ce qui ressort de l’étude de ce symbole à travers les mythes et les cultes qui lui ont été associés est sans aucun doute l’ambivalence et le double tranchant. En effet, que ce soit en Egypte, dans la culture hindoue ou amérindienne, dans les livres originels des religions monothéistes, les hommes ont toujours semblé considéré le serpent à la fois comme être maléfique et sombre, et comme être spirituel pur et haut. La mue du serpent a fasciné l’homme, qui lui a associé la vie éternelle, le renouveau, la renaissance dans cette vie ou dans l’autre.

Le serpent a été une image importante de beaucoup de civilisation. En Egypte, il a été Seth, le dieu qui tue Osiris, et Apophis, Dieu de la force primaire. Il est l’incarnation de Déesse protectrice (Uraeus, posée sur la couronne de la basse Egypte, Renoutet, etc.). Le serpent est aussi très présent dans les rites funéraires. Atoum, Dieu serpent, émerge en premier des eaux primordiales, et crée le monde.
L’inde a elle aussi associé l’ambivalence de cet être : il est le serpent géant vaincu par Vishnu et sa monture. Un culte célébré (naga-panchami) garantissait ce jour-là la passivité de toutes les races de serpents... Comme divinité chtonienne, les Naga, munis de personnalité, associé à Vishnu et gardien de la terre et de ses trésors, symbolisent la multitude indénombrable. « Shesha à sept têtes de serpent est le vestige, le serpent originel, épouse Anantashira, le commencement de l’éternité, et devient à la fois le fils de l’immortalité, le vestige des univers détruits et le gemme de toute création ». (Source wikipédia)
Ananta est le prince des ténèbres. Il est l’instigateur des tremblements de terre, roi des naga, et esprit de l’eau et des choses grouillantes. Il symbolise aussi la vie, le maître du principe vital et de la nature, l’incarnation du Grand Serpent Primordial. Le premier chakra, lové dans l’incarnation, qui ne pourra se développé et accédé au dernier chakra que lorsque l’être humain aura vaincu ses tentations et aura accédé à l’invisible pur du céleste, comme axe du monde et de l’homme (sagesse suprême et union de la terre et du ciel).

Il est Ouroboros, le cycle, le renouveau, la stabilité absolu et à la fois le cercle vicieux, l’enfermement. Il est le protecteur de Bouddha, qui, détaché de sa matérialité, est protégé de la pluie par ses anneaux puissants.
Dans la Bible, il symbolise la connaissance, la tentation des hommes. Il est le mal corrompant les hommes, et aussi le bien soignant les hommes dans le désert (le serpent d’airain), donateur de vie et messager de mort.
Il détient aussi la science en Grèce antique, la sagesse.
En Grèce aussi, Asclépios a peut être réuni les deux côtés de ce symbole sur son bâton : les deux serpents enroulés, les deux forces opposées et en équilibre, le monde dans sa plénitude (et selon certain, le symbole de l’ADN). Le python de Delphes, utilisé en divination par apollon est soumis mais pas tué : peut être que le but de l’homme est de soumettre le serpent et non pas le tuer ?
Chez les aborigènes australiens, les dogons du mali, en Papouasie, il protège la civilisation, le feu.

Quetzalcoal, ou « serpent à plumes » chez les Aztèques, est un Dieu de la mort, mais aussi de la Renaissance. Le serpent a pour eux une agressivité positive, le sens du risque, le courage. Il est aussi associé à la gémellité, ce qui pourrait aussi se rapprocher de l’interprétation du bâton d’Asclépios.

Le serpent, pour résumé est à la fois symbole du plan astral, dans ce qu’il a de plus haut, et dans ce qu’il a de plus bas, selon ce que l’on est capable de percevoir, d’accepter, de vivre.
Le serpent est également le symbole de l’âme humaine, dans sa dualité, ses épreuves et ses victoires.
Il est la terre et la bassesse de l’orgueil, du « bas », chtonien et grouillant, et il est le cosmique, le fluide universel, l’harmonie trouvée. Le serpent serait il donc l’animal le plus proche de l’homme, dans son incarnation et dans son chemin spirituel ? Le but serait donc de neutraliser, de comprendre et de soumettre le serpent, pour harmoniser enfin les forces, et le cosmique autant que le matériel ?
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