C'est au 11e siècle que ca a commencé à circuler les histoire de mort qui quitte leur tombe pour s'attaquer aux vivants mais c'est au 14e siècle que le vampirisme est devenue une mode en Europe de l'Est et ce n'est qu'au 18e siècle que nous parvient le nom Vampire lors de ce qu'on appellera plus tard la grande épidémie vampirique. On parle de ca dans tous les journaux et revues de l'époque et les caractéristiques du vampire telles qu'elles sont alors exposées sont: :
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<LI>Le vampire est un mort qui ne se décompose pas dans la tombe même après plusieurs mois après l'inhumation ;
<LI>Le corps a parfois changé de position ;
<LI>Il sort de sa bouche et de ses oreilles du sang frais et en quantité qu'il aurait volé à ses victimes ;
<LI>Très peu de rapport font mention de longues dents.Il semblerait donc que ce soit un pur produit cinématographique destiné à rendre plus effroyant . Par contre on sait que les vampire suce le sang à travers la peau laissant une marque bleutée mais pas seulement au niveau du cou comme dit au cinéma et dans les livres.
</LI></BLOCKQUOTE>Aujourd'hui bien sur avec une plus grande ouverture d'esprit du public et aussi avec la médecine avancée on a découvert en fait que ces fameux vampires ne sont que de pauvre victime d'une terrible maladie qu'est la Porphyrie.
Le Dr Dolphin pense en effet que le mythe du vampire aurait été inspiré d'une maladie héréditaire congénital très rare du a l'absence d'un enzyme. (une enzyme est une protéine qui a la fonction d'accélérer la vitesse d'une réaction chimique dans l'organisme.) La porphyrie est un terme qui englobe un groupe de maladies qui affectent la production d’hémoglobine (les globules rouges), de myoglobine (la pigmentation cellulaire rouge des muscles) et de cytochromes. Elle provoque une photosensibilité de la peau qui entraîne des effets spectaculaires chez le malade. Toute personne sujette a cette maladie prend des risque graves si elle s'expose aux rayons du soleil, car celui-ci provoque une importante atrophie de la peau.(appelée photodermatite). Le contact avec la lumière du soleil provoque alors une douleur intense de la peau et un « rougissement » prononcé des yeux. Qui plus est les malades souffre souvent d'une grande pâleur, et de pilosités anormales.
La forme la plus fréquente est la porphyrie cutanée, dans 80% des cas elle se manifeste entre 30 et 50 ans et généralement déclenché par une intoxication hépatique soit l'alcool, des drogues fortes, médicaments, est... mais dans 90% des cas c'est du a une intoxication aux médicaments. Le stress, la fatigue et le jeûne peut aussi déclencher la maladie. Une substance ayant ces propriété a été identifiée par le Dr Dolphin dans l'ail. Il pense que dans les régions reculées et archaïques les malades de la porphyrie et leur manie de boire du sang a pu donner naissance au mythe du vampire. Mais cette théorie est très contreversée dans les milieux médicaux, d'autre pensant qu'il faut chercher les racines du mythe a un niveau psychiatrique. Il s'agit de personne qui consomme du sang, principalement pour le maintien de leur santé et de leur jeunesse. La consommation du sang de bétail a cet effet était fort répandu jusqu'il y a peu de temps, et les abattoires étaient très fréquentés.
Dans un régistre plus sinistre on peut évoquer la comtesse Erzsebet Bathory qui dans son château au 16e siècle, saignait plusieur centaine de jeunes filles afin de se baigner dans leur sang ou le boire dans le but de préserver le plus longtemps possible sa jeunesse et sa beauté. c'est le procès, en 1611 de la comtesse. Celle-ci est accusé d'avoir fait enlever et saigner comme des animaux de boucherie de malheureuse jeunes filles qui habitaient dans les villages aux alentours de son château de Csejthe, situé au sommet d'une colline dans la région montagneuse de la Hongrie proche des Carpates. Selon les chroniques de l'époque, le nombre de victimes se situait entre quatre vingts et trois cents ; la vérité se situe probablement plus près du second chiffre. Pendant dix ans, des dizaines de jeunes filles, enchaînées dans les cachots du château, seront torturées avec raffinement et saignées à mort. Devant le nombre impressionnant de disparitions de jeunes femmes dans la région, des rumeurs se répandent et, pour y mettre fin, le 30 décembre 1610, le comte Gyorgy Thurso, cousin d'Ezsébet, à la tête d'une compagnie de soldats et de gendarmes, investit le château au moment même ou se déroule l'une de ces orgies sanglantes. Outre des cadavres de jeunes femmes, on découvre dans les cachots souterrain des prisonnières encore vivantes, dont le corps a été lardé de milliers de piqûres d'aiguille, et d'autres qui n'ont pas encore subi de sévices mais qui attendent leur tour. Sauvée de la peine capitale grâce à ses liens de parenté avec la famille royale, la comtesse sera gardée en captivité jusqu'à sa mort dans sa propre chambre dont on mure les fenêtres et la porte en ne laissant qu'un étroit interstice pour lui passer les plats, tandis que ses complices seront tous exécutés. Le château étant demeuré à l'abandon après la mort de la comtesse, l'endroit restera longtemps maudit. L'affaire Bathory a contribué à répandre dans la région toutes sortes de rumeurs et de légendes selon lesquelles la comtesse aurait continué, après sa mort, à se livrer à ses débauches sanglantes, devenant ainsi un vampire au sens propre du terme. Et cette Contesse était une parmi tant d'autre. Selon plusieurs spécialistes il pourrait y avoir cinquante mille personnes se livrant actuellement a des pratiques vampiriques aux États-Unis, de véritables réseaux de vampires sont organisés dans les différentes régions des États-Unis et rares sont ceux qui vivent leur différence en solitaire. Tous décrivent leur envie de sang comme un besoin, quelquefois vital, mais ne se déclarent pas prêts à la violence ou au meutre pour le satisfaire. Quel que soient leur satisfaction elle est certainement psychosomatiques vu qu'il a été médicalement pouvé que l'organisme ne synthétise pas le sang, il passe dans les organes digestif sans être absorbé.
Le vampirisme a aussi parfois été interprété, dans la littérature médical, comme un symbole de la peste ou de rage humaine, durant les épidémies de peste les morts étaient dangereux et ensevelis à la va-vite, parfois même vivant, et cela pourrait expliquer l'état de certaine personnes lors des exhumations.
Les différentes formes de porphyrie sont diagnostiquées par test d'urines, une coloration anormale des urines virant au noir à la lumière en 30 minutes et qui sera donc pas observée dans les toilettes. Les malades ont des crampes abdominal intense, ceci est la manifestation la plus fréquente, survenant le plus souvent chez la jeune femme ils sont souvent accompagnées de vomissement violent et d'une constipation formant des bouchon, l'abdomen est sensible et il y a un amaigrissement important. Les symptôme dure de quelques heures à deux ou trois jours, et le rythme des crises est très variable. Les troubles psychiques présent dans la moitié des cas sont des troubles d'anxiété, agressivité et de dépression, pouvant comporter des troubles de la conscience, une confusion mental voire hallucinatoire, qui pourraient justifier en première analyse, lorsque le diagnostic est méconnu, des traitements susceptible d'aggraver la crise.
Le syndrome neurologique, son diagnostic peut-être grave. Quadriplégique, paralysie des muscle respiratoires, atteinte bulbaire mettant en jeu la vie du patient, convulsions susceptibles d'induire un traitement barbiturique aux conséquences dramatiques. Dans tous les cas l'hypertension artérielle, sueurs, insomnies sont souvent présent. Pour ce qui est des traitements et remèdes rien de très compliqué mais elle doit être pris très au sérieux, il est recommandé d'éviter l'exposition au soleil et les prescription de médicaments pouvant déclancher les troubles, il y en a toute une liste, et l'administration de glucose ou d'hématine (sucre et fer naturelle) peut s'avérer utile. Prendre des Antalgiques pour la douleur peut aussi aider. Pour les cas plus graves bien autrefois c'était des saignées et perfusion, aujourd'hui se sont des transfusion.
Finalement, derrière les mythes et légendes il y a toujours un petit fond de vérité...