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| Exercices préliminaires à toute pratique | |
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Invité Invité
| Sujet: Exercices préliminaires à toute pratique Ven 27 Fév - 21:32 | |
| La respiration
La respiration est liée au concept même de la vie ; en effet, le premier procédé pour déterminer la présence de vie chez un être consiste à observer sa fonction respiratoire. Un homme en bonne santé enregistre environ 24 000 cycles respiratoires par jour. Ce faisant, notre organisme absorbe non seulement de l’oxygène et divers gaz, mais aussi, si l’on en croit les théories orientales toujours clairvoyantes, le "prana", l’énergie cosmique éthérée. C’est cette énergie qui, lorsqu’elle émane des mains des guérisseurs, transmet la force vitale et combat les maladies. Nous avons pendant longtemps imposé à notre acte respiratoire des rythmes et des modalités artificielles. Observez par exemple un nourrisson : son abdomen monte et descend régulièrement, naturellement. Mais un adulte anxieux et dont le corps est comprimé dans des vêtements étroits, prend progressivement de mauvaises habitudes : sa respiration devient précipitée, superficielle et, surtout chez la femme, thoracique. Cette négligence est la cause d’une mauvaise oxygénation du sang et par-là même d’une baisse sensible des fonctions cérébrales. La capacité de concentration et d’étude est alors diminuée, et les énergies insuffisantes, ce qui compromet grandement la pratique de l’occultisme. En outre, tout comme la respiration influence la psyché, l’état psychique négatif affecte la respiration. Dans les moments critiques, dus au stress, à la peur ou à l’anxiété, une bonne respiration, effectuée lentement et avec attention par les narines s’est toujours avérée la meilleure des médecines. Grâce à ce premier exercice, vous aurez remporté votre première victoire : le contrôle de l’esprit sur le "soma" (corps) et vice versa. C’est une expérience de maîtrise de soi-même indispensable si l’on veut affronter avec assurance et fermeté les forces des arcanes.
Les Hindous ont fait du contrôle de la respiration, le "prânâyâma", l’un des huit barreaux de l’échelle qu’il faut gravir pour communiquer avec l’Absolu. Pour pratiquer le prânâyâma, un état de santé satisfaisant est indispensable : assis, le buste bien droit, dans un lieu calme et aéré, lion des heures des repas, vous devrez concentrer toute votre attention sur le rythme respiratoire. Vous placerez une main sur votre abdomen, au niveau du nombril, et l’autre main sur votre poitrine, afin de pouvoir contrôler l’entrée de l’air dans la cavité abdominale et thoracique. Inspirez doucement par les narines en comptant mentalement jusqu’à deux, et essayer de faire pénétrer l’air jusqu’au point le plus bas possible, en gonflant tout d’abord la première zone abdominale puis la cage thoracique. Retenez votre respiration pendant une seconde et expirez lentement, toujours par le nez, en comptant jusqu’à quatre. C’est la phase la plus difficile. Vous serez tenté d’abréger cette étape en accélérant la cadence ; il se peut également qu’avant d’avoir fini de compter vous n’ayez plus d’air à expulser. Attention à ne pas forcer l’intensité ni la durée de l’exercice, cela risquerait de vous causer de légers malaises tels migraines, vertiges, trouble de la vue ; la respiration doit être une fonction naturelle.
Pour ces exercices, un yogi pourra travailler longuement en utilisant des techniques diverses ; pour nous autres Occidentaux essoufflés, dix ou vingt cycles à ce rythme sont amplement suffisants. Progressivement, cet exercice deviendra automatique, et vous pourrez respirer correctement sans même y penser.
La respiration luni-solaire (par narines alternées) constitue un autre aspect de cette technique. Le processus dans son ensemble reste le même, mais cette fois-ci, une seule narine sera utilisée pour inspirer, tandis que la narine opposée servira à expirer. Vous boucherez alternativement l’une ou l’autre des narines avec un doigt. Inspirez tout doucement par la narine gauche en appuyant sur la narine droite avec le pouce droit pour la maintenir fermée. Bouchez ensuite avec l’index de la même main la narine restée ouverte : c’est la phase de rétention. Puis, pour passer à l’ultime phase respiratoire, débouchez la narine droite, la narine gauche étant toujours fermée, et expirez lentement. Ces trois stades devront être exécutés dans les temps conseillés pour le précédent exercice. La pratique et l’entraînement aidant, vous pourrez ensuite modifier le décompte mental et doubler, voir même tripler ces temps.
La concentration
La concentration est l’art de s’isoler des influences extérieures en fixant son attention sur quelque chose, une personne ou un objet, afin d’empêcher son esprit de vagabonder. Parmi les innombrables idées qui peuplent notre esprit, on retiendra alors seulement celles qui sont, d’une manière ou d’une autre, associée à l’objet choisi, pour que la vision de ce dernier soir la plus claire et la plus complète possible.
La concentration n’est pas synonyme d’effort violent, rage ou tension, c’est le résultat de l’attention, de la persévérance et de la maîtrise de soi. La première fixe l’esprit sur l’objet désiré, la deuxième immobilise l’attention et la troisième empêche la pensée de s’échapper et d’errer ça et là. Parce que nous menons souvent une existence machinale et routinière, nous n’avons pas conscience de notre incohérence. Au cours d’une journée, nous accomplissons un grand nombre d’actions automatiquement, en pensant à autre chose : nous les privons ainsi de la force que la concentration mentale pourrait leur conférer. Cette force est le secret de la réussite dans les domaines les plus variés : étude plus profitable, connaissance plus profonde, gain de temps, dispersion d’énergies réduite, réalisation des désirs. Elle est en réalité la clé qui nous permet de concentrer efficacement notre volonté pour atteindre un but ardemment convoité.
Concentrez-vous, à titre d’exercice, sur un objet quelconque, une fleur ou un crayon par exemple, en essayant d’éliminer toutes les pensées qui ne sont pas directement liées à celui-ci. Faites en sorte de le percevoir totalement, à l’extérieur et à l’intérieur, comme s’il était isolé du milieu ambiant. Analysez les couleurs, la forme, la consistance, la substance de cet objet, en appréhendant au fur et à mesure des attributs intérieurs, ses fonctions, son histoire, les situations et les souvenirs qu’il suscite en vous. Cet exercice améliore l’idéation, confère de l’acuité et renforce la capacité d’attention.
Fixez votre attention sur les objets et surtout sur les personnes qui vous entourent, en cherchant, grâce à une observation minutieuse, à comprendre également leur côté le plus obscur.
Un peu de solitude est également souhaitable si l’on veut suivre la voie de la concentration intérieure ; tous les maîtres spirituels, les grands occultistes, ont consacré une partie de leur existence au dialogue silencieux avec eux-mêmes. Faites comme eux : isolez-vous pour dédier quelques instants de votre précieux temps à votre voix intérieure.
Le Zen, vieille philosophie japonaise qui tend à la réalisation du Moi par certaines techniques spécifiques, prévoit un exercice de concentration très utile : la pratique du Koan. Il s’agit habituellement de dilemmes apparemment insolubles, du moins par le jugement, et que seule la concentration mentale, renforcée ici aussi par une préparation physique rigoureuse, permet de résoudre. Intégrez la pratique du Koan à vos bonnes habitudes, en vous concentrant sur vos problèmes psychologiques, sur vos dilemmes quotidiens. Non seulement vous parviendrez à résoudre un problème en apparence insondable, mais vous enregistrerez un développement incontestable de votre science et de vos capacités de chercher de l’occulte.
La méditation
Les Hindous assimilent l’esprit humain à un signe qui, à l’état sauvage, sautille sans cesse et saisit tout sans discernement. Ils ont donc inventé une technique permettant de dominer cet animal sympathique et capricieux qui est en nous : la méditation.
Méditer, c’est entrer en communication avec les couches supérieures de l’être, éliminer la pensée, l’espace, le temps, franchir les limites du Moi en se fondant dans le Tout, transcender la condition individuelle de l’homme. Si vous essayez tout simplement de suspendre pendant quelques secondes votre activité mentale, vous découvrirez très vite combien la pensée est instable et indisciplinée. Mille pensées éphémères surgissent dans l’espace libre laissé par l’esprit et s’y incrustent comme des parasites.
Cherchez alors un petit coin tranquille où vous pourrez être sûr que personne, pendant au moins une demi-heure, ne viendra vous déranger. Relaxez-vous et contrôlez votre respiration. Allumez ensuite une bougie et placez-la à trois ou quatre centimètres environ devant vous, au niveau des yeux. Assis confortablement, le dos bien droit, fixez la flamme et essayez de faire le vide mental. Dans un premier temps, une foule de pensées parasites tentera de s’emparer de votre esprit, mais vous les vaincrez en les laissant tout simplement défiler, sans vous fixer sur l’une d’entre elles en particulier, comme si elles étaient le produit de l’esprit d’autrui. Progressivement, tandis que vous perdez le contact avec la réalité environnante, ces pensées se feront plus rares et moins pressantes. Une sensation d’agréable légèreté psychique, alliée à un certain engourdissement physique vous envahira, créant ainsi un état d’immatérialité et de conscience aiguë.
Le même exercice peut être pratiqué sous une forme plus active, propre à influer su le monde environnant, une fois que vous aurez acquis le contrôle du Moi. Vous fixerez comme précédemment la flamme, mais en vous efforçant cette fois de canaliser votre pensée sur celle-ci et d’influencer la mobilité, la hauteur et la coloration du pâle halo qui l’entoure. Vous devrez donc parvenir à agir directement et tangiblement, par la seule force de votre esprit, sur un objet, en le modifiant selon votre bon plaisir. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Exercices préliminaires à toute pratique Ven 27 Fév - 21:33 | |
| Certains, pour la méditation, préfèrent utiliser une "mantra", une formule dotée de significations magiques et religieuses particulières et répétées à l’infini. La magie du son ininterrompu, comme un bourdonnement intérieur, freine l’activité de l’esprit rationnel et permet au Moi d’effectuer le grand saut. Infiniment variés, les mantras adoptés par les différentes écoles orientales sont pour la plupart secrets, mais il semble que l’OM, symbole d’harmonie cosmique, soit le plus simple et le plus répandu. C’est le mantra spécifique du fameux troisième oeil, celui des sept "chakra" de l’ésotérisme indien, situé entre les deux sourcils, qui correspond à la glande pinéale, au cerveau et aux facultés mentales. Pour prononcer correctement l’OM, il faut inspirer profondément, en emmagasinant une bonne quantité d’air, puis expirer lentement en laissant sortir un "O" très long suivi d’un "M" nasal tenu jusqu’à la fin du souffle. Méditez à l’aube ou au coucher du soleil, car à ces moments de la journée, les énergies cosmiques étant les plus intenses, il y a sur terre de nombreuses personnes unies par la même expérience.
La visualisation
Visualiser, c’est voir quelque chose ou quelqu’un par les yeux de l’esprit. L’artiste, le savant, font de la visualisation un instrument de création de leurs oeuvres. Le mage visualise pour persuader ou pour réaliser, et le paragnostique, l’agent de la communication télépathique, pour transmettre des images et des pensées.
La visualisation est une technique qui peut faciliter la concentration, mais qui dépend grandement d’une pratique constante de cette dernière. Il est en effet nécessaire d’effectuer un tri de ses propres pensées, de les immobiliser et de fixer son attention, pendant plusieurs secondes, sur une image construite par l’esprit.
Créativité et contrôle mental sont donc les ingrédients strictement indispensables de la visualisation qui est déjà, pour la moitié, une réalisation effective.
Exercez-vous en commençant par des formes simples, schématiques, et passez dans un deuxième temps seulement à des objets plus complexes.
Vous pouvez faciliter cette expérience, imaginez un écran blanc sur lequel vous effectuerez vos projections mentales. Vous vous contenterez, au début, de reproduire des figures géométriques simples : des carrés, des cercles, des triangles, noir sur blanc ou blanc sur noir. Vous passerez ensuite à l’utilisation de la couleur (le rouge étant généralement le plus conseillé). Puis, la pratique aidant, vous pourrez remplacer les formes géométriques par les nombres, les lettres de l’alphabet, les objets ou les personnes, en vous efforçant de les visualiser jusque dans leurs moindres détails pour que l’expérience soit vraiment valable.
Exprimez-vous toujours positivement, en focalisant votre esprit sur des images solitaires, vitales, sur les personnes que vous aimez ou les choses que vous désirez : vous en retirerez vitalité, sérénité et succès, en mettant votre psyché et votre vie à l’abri d’éventuels effets négatifs.
La télékinésie
On raconte que les Egyptiens auraient déplacé les énormes blocs de pierre des pyramides en les transportant en l’air, sans effort, grâce à une énergie mystérieuse suscitée par le son. De façon moins éclatante, certains adeptes du yoga réussissent, en se concentrant, à vaincre la pesanteur et à soulever leur propre corps de quelques centimètres. La faculté de déplacer des objets par l’utilisation exclusive de l’esprit est appelée en langage technique "télékinésie", ou mouvement à distance. Les premiers pas vers cette technique plutôt absorbante supposent un bon niveau de développement de la volition, qui seule permettra de vaincre les lois de la gravité et de l’inertie.
Procurez-vous un objet léger, un petit morceau de liège par exemple, et posez-le sur une surface plane. Assis confortablement, placez vos mains ouvertes au-dessus de l’objet très près mais sans le toucher, et concentrez-vous profondément sur la pulpe de vos doigts. Lorsque vous ressentirez un fourmillement, une sorte de démangeaison qui, des doigts, se répandra dans les mains, jusqu’aux coudes, essayez de visualiser de minces rayons rigides, semblables à des cheveux, qui relient vos doigts et l’objet à déplacer.
Bougez alors lentement vos mains en maintenant une concentration constante sur les doigts, les rayons et l’objet. Celui-ci pourra commencer à se mouvoir doucement, bien que rien d’autre que votre pensée n’ait agi. Pour un autre exercice, plus simple peut-être, procurez-vous un récipient (tasse, assiette) que vous remplirez d’eau. Placez au centre du récipient, à la surface de l’eau, un petit objet flottant (un demi cure-dent fera très bien l’affaire). Concentrez-vous pour le faire bouger, en ayant toutefois bien soin de ne commencer à agir que lorsque l’objet est immobile, et en évitant que votre respiration n’influence le mouvement.
La relaxation
La relaxation est un exercice dont on parle souvent, mais qu’il est extrêmement difficile d’exécuter avec justesse. Elle implique en effet la complète élimination de toute contraction musculaire, de toute tension du corps et de l’esprit, but quasiment impossible à atteindre pour un Occidental.
Le matin au réveil paraît le moment idéal pour vous exercer. Couchez-vous sur le dos, sur une surface rigide mais confortable, la paume de la main tournée vers le haut. Vous ne devez avoir ni trop chaud, ni trop froid ; vous ne devez pas non plus, tout au moins au début, être tourmenté par des besoins physiologiques ou souffrir d’une quelconque pathologie douloureuse. Essayez d’imaginer, en partant de la pointe des pieds jusqu’au sommet de la tête, chaque nerf, chaque muscle. Contractez fortement, en commançant par le pied gauche et en remontant, chaque muscle de votre corps, puis decontractez-vous. Votre tension, votre négativité se déchargent, comme de l’éléctricité, dans le sol. Vous vous sentez bien ; vos pensées défilent lentement, sans que vous tentiez de les retenir. Vous êtes calme, serein et votre corps se fait lourd, comme s’il s’enfonçait. Laissez-vous aller...
Terminez l’exercice en remuant doucement et en vous étirant comme un chat, le plus possible. Relevez-vous et commencez votre journée selon votre habitude, vous éprouverez, tout au long du jour, une surprenante sensation de calme et de bonne humeur qui vous permettra de balayer la fatigue et les petites contrariétés.
La projection de la volonté
A une époque où la société de consommation nous séduit par mille vitrines alléchantes, mille objets et produits alimentaires attirants, il est de plus en plus difficile d’éprouver un désir véritable, qui ne soit pas suscité.
Pour réapprendre à désirer, il faut avant tout savoir intercaler un laps de temps raisonnable entre le moment où l’on voit et celui où l’on possède.
En d’autres termes, il faut savoir attendre.
L’attente élimine le caprice momentané, mais amplifie le désir véritable, profond, en le transformant petit à petit en détermination. Pour accéder à la partie active, magique de l’Occulte, vous devrez essentiellement savoir dire : "je veux". Vous devrez le dire avec la voix, l’esprit, le coeur et chaque fibre de votre être, pour que ce "je veux" devienne "je peux".
Mais le facteur yin aussi, réceptif des arcanes, a besoin de votre entière volition pour que vous puissiez demeurer ferme, solide intérieurement, face à toute manifestation, vision ou révélation suscpetible de vous troubler profondément. La volition est une arme puissante dont vous devrez user raisonnablement. Votre force grandissant, vous pourrez l’utiliser afin de mieux harmoniser votre existence, de vous attirer succès et amour, et pour tenter d’éloigner de votre microcosme toute calamité, guerre ou injustice.
Projetez votre détermination sur les petits obstacles qui parsèment la vie quotidienne.
Le renforcement du soi
Quiconque a été, au cours de son existence, victime d’ennuis, de maladies ou de tourments, quiconque a perdu une personne chère, connaît certainement l’autre face de la douleur. Contre toute attente, le Moi sort fortifié de cette épreuve pénible, quasiment insupportable. Tout le monde sait que les personnes les plus sages, les plus robustes intérieurement, et donc les mieux adaptées à l’initiation ésotérique, sont celles qui ont souffert le plus.
Mais si, quand bien même vous aspireriez à la philosophie occulte, vous avez eu la chance de n’avoir jamais été effleuré par la douleur, il vous faudra renforcer votre âme d’une autre manière.
Les ascètes et les saints du désert savaient pertinemment que le renoncement volontaire aux tentations trompe intimement l’individu.
Le yoga apprend à acquérir la fermeté intérieure, à contrôler ses propres émotions, ses actes, ses pensées, ses paroles et même les fonctions physiques et physiologiques des organes normalement indépendants de la volonté.
Tout ceci peut être résumé pour la pensée occidentale en un seul mot : modération. Apprendre à maîtriser sentiments et désirs.
Il existe, en Extrême-Orient, une règle que nous ne qualifierons pas simplement de masochiste : " faire également ce qui nous plaît le moins". On réussi toujours bien les choses les plus attirantes, c’est indubitable ; mais ce sont les choses les moins appréciées, celles qui demandent un plus grand effort, qui fortifient l’esprit.
Source : le Grand Livre des Sciences Occultes, Laura Tuan, éditions de Vecchi |
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