Les corps énergétiques

Les corps énergétiques de l’aura

L’aura est composée de quatre corps énergétiques, chacun vibrant dans une gamme de fréquences qui lui est propre. Les irrégularités vibratoires, arythmies, fréquences trop basses ou trop élevées ne permettant plus une différenciation nette entre deux corps énergétiques peuvent aussi être révélatrices de problèmes qu’il faudra traiter. En méditation, il est possible de se concentrer sur l’un ou l’autre corps énergétique pour en augmenter ou en diminuer la fréquence vibratoire. Il devient alors possible de passer d’un corps à l’autre afin de déceler à quel niveau les problèmes se situent.

Idéalement, on devrait tendre à élever la fréquence vibratoire de chacun de nos corps énergétiques au maximum de leurs capacités.

Centrage, harmonie et fréquence vibratoire éleée des corps auriques sont les garants d’une bonne santé physique, intellectuelle, émotionnelle et spirituelle.

Voici les différents corps énergétiques :

Le corps éthérique :





Le corps éthérique est, en quelque sorte, une réplique du corps physique, comparable à un léger champ électromagnétique le recouvrant et le protègeant. Il est le premier corps invisible à l’oeil non exercé. On peut le percevoir dans une zone allant de 2 à 10 cm du corps physique. Il a la fréquence de vibrations la plus basse.
Ce corps est une contrepartie lumineuse du corps physique dont il n’est absolument pas détaché, ce n’est pas un double indépendant. Il est le bouclier de protection du corps physique contre les agressions extérieures. L’éthérique pénètre la totalité de votre corps, l’englobe et le baigne de son flux magnétique. Ces champs magnétiques pénètrent la matière tout en la dépassant. Le magnétisme de l’éther est d’une telle qualité que peu d’appareils ont pu le déceler, le procédé Kirlian permet d’en observer une partie. L’éthérique est un corps lumineux, sa couleur de base peut varier, mais elle est habituellement argentée, elle irradie perpendiculairement à la surface de la peau. À plusieurs centimètres de la surface de la peau ce corps est moins dense et s’estompe peu à peu en s’éloignant du corps physique.
L’éthérique est parcouru de courant de lumière appelés Nadis, Natî en sanscrit évoque les canaux par lesquels circule le souffle vital, ces courants convergent vers des centres d’énergie appelés chakras. Théoriquement, aucune blessure, aucune maladie ne peut le franchir. En pratique, si la vie que nous menons, notamment nos excès, matériels comme spirituels, provoquent un affaiblissment du corps éthérique, des trous, des déchirures peuvent apparaître dans ce bouclier et rendre le corps physique vulnérable aux agressions de l’extérieur.
On dit qu’il est possible de détecter ces zones de faiblesse et les traiter avant l’apparition des maladies. C’est pourquoi il est important en cas de problème de réparer aussi le corps éthérique et pas seulement le corps physique. C’est comme si après une crevaison vous répariez la chambre à air et que vous ne bouchiez pas le trou dans le pneu, la chambre à air serait alors plus facilement sujette à usure ou à une nouvelle crevaison.
La fonction de ce corps est d’assurer la cohésion et l’intégrité physique et énergétique de l’enveloppe visible. Pour cela le corps éthérique puise dans le Prana. Prâna en sanscrit veut dire "plénitude" ; c’est le nom donné au souffle vital et, accessoirement à l’air inspiré. La porte du corps éthérique se trouve au niveau du Chakra de la Base.

Comment percevoir le corps éthérique ?

La perception du monde éthérique nécessite un entraînement constant. Placez votre main (gauche ou droite) devant un écran de teinte blanche de préférence, repliez vos trois derniers doigts dans la paume de votre main et approchez votre index à environ un millimètre de votre pouce. Vous apercevez alors, entre ces deux doigts une petite ombre lumineuse de teinte bleutée qui entoure les deux doigts et, au point le plus proche, situé entre le pouce et l’index, vous pouvez percevoir les courants éthériques former plusieurs lignes qui tendent à se confondre entre les deux doigts, en produisant un petit picotement. Afin d’écarter les erreurs d’interprétation dues aux problèmes de la persistance rétinienne, évitez d’adopter une position statique devant la feuille blanche.
Regardez "dans le vague", ne cherchez pas à fixer votre regard. Ne "forcez" jamais la lecture. Reposez vous entre deux essais, poser votre regard ailleurs, pensez à autre chose. Avant l’essai, pensez : « je veux visualiser l’aura » et précisez "entre les doigts que j’ai rapproché, de cet homme, de cette plante, etc."
Il est important d’avoir la pensée la plus claire possible afin d’éviter toute ambiguïté, de la finesse de la pensée dépend la finesse du résultat. Soyez positif et patient. Chacun est capable de réussir cet exercice, vous n’êtes pas soumis aux règles d’une école qui impose la même vitesse d’évolution à ses élèves... Ayez foi dans ce que vous effectuez, ayez confiance en vous, la réussite viendra. Nier, c’est créer les conditions de l’échec, des pensées négatives naissent et cette énergie négative vivante crée une barrière. Ne pensez jamais réessayer car vous niez l’existence même de ce que vous avez construit la veille. LE DOUTE EST L’ENNEMI DE LA FOI.
Pour examiner le corps éthérique d’une personne avertie, placez celle-ci devant un mur uni de couleur blanche, mais évitez les éclairages violents. Déplacez-vous de quelques mètres et regardez en direction de votre ami(e). Toujours pour éviter les effets de la persistance rétinienne, ne cherchez pas à fixer votre ami(e) du regard.
Regardez "dans le vague", c’est à dire l’espace entre le mur et le contour de la personne. Vous verrez apparaître une fine ombre lumineuse bleutée ou au moins "une seconde peau" se présentant sous la forme d’une bande lumineuse entourant le corps de la personne placée en observation. Demandez à votre ami(e) de faire quelques mouvements lents devant le mur : la bande lumineuse ne disparaît pas et doit continuer à suivre les contours du corps en mouvement. Si ce n’est pas le cas, jetez un regard vers un autre endroit de la pièce, ou clignez des yeux puis recommencez. Procédez à cet exercice au moins 5 minutes par jour. Une observation similaire peut-être pratiquée sur l’animal ou sur le végétal. Toutefois, l’intensité du corps éthérique développé par nos compagnons végétaux est plus faible et donc plus difficile à appréhender sans expérience.
Certains magnétiseurs procèdent à la palpation du corps éthérique en faisant glisser la paume de leur main le long de celui-ci. La sensibilité développée et affinée d’un centre d’énergie particulier situé quasiment au milieu de la paume (chakra) des mains leur permet d’évaluer l’état de santé d’un individu (fuite d’énergie, pollution, organe physique défaillant, etc.).

Des mesures d’intensités énergétiques, vitalité globale ou particulière, peuvent être aussi effectuées à l’aide d’un pendule et d’une échelle en forme de demi cercle gradué de 0 à 100. (Cf. Mesure des taux vibratoires) Après de nombreux exercices d’observation, vous vous rendrez facilement compte que l’épaisseur de la couche éthérique varie suivant l’état de santé ou de fatigue de la personne observée. En observant les personnes qui vous entourent, vous pourrez "juger" du premier coup d’œil de leur état de fatigue et de leur vitalité. Ensuite vous pourrez vous entraîner à percevoir une couche énergétique bien plus subtile : l’astral, qui succède à l’éthérique et que l’on nomme AURA. L’aura est une couche énergétique formant des tourbillons très compliqués enrobant le corps humain. Suivant la vitalité de l’individu, elle atteint une hauteur pouvant dépasser 2 à 3 mètres, et une largeur d’environ 1m à 1m50 dans sa partie la plus large. Les courants auriques prennent leur source dans les plexus, le long de la colonne vertébrale et se présentent sous formes de vortex rayonnants et colorés. Ces vortex, centres principaux d’énergie, sont au nombre de 7 : ce sont les chakras.

Le corps astral :

Selon Celia Green (psychologue spécialiste des phénomènes paranormaux), le corps astral est rattaché de façon visible au corps physique par un mince fil argenté, le fameux "cordon d’argent", reliant sa nuque au front ou à la poitrine de l’enveloppe chamelle. Ce fil devient de plus en plus long et fin, et finit par disparaître complètement si le double s’éloigne trop du corps, mais réapparaît à son retour. En principe ce double n’a pas la faculté d’agir sur les éléments du monde terrestre qu’il distingue pourtant comme d’habitude, mais il lui arrive de temps en temps d’atteindre un degré de matérialisation perceptible à la vue ou au toucher d’autres personnes.

Il s’étendrait à une distance de quinze à trente centimètres du corps et serait composé d’une "matière" impalpable, sous forme d’énergie, de flux ondulatoire. C’est une sorte de champ magnétique, un corps psychique.Il épouse le corps éthérique généralement en une fine brume, délicate, mouvante et irisée.

Ce corps a une vie psychologique et spirituelle : il possèderait les cinq sens de base, cependant le toucher et le goût s’exercerait de manière différente. L’imagination serait entièrement présente, avec la mémoire et leur exercice cérébral. Les émotions passionnelles serait présentent mais elles sont beaucoup plus paisibles, comme apréhendées d’une manière plus spirituelle. La joie, la paix, la peur et la tristesse s’exercent sans excès, comme si l’absence du corps physique les rendait plus contrôlables. On dit que le corps astral est le siège de nos émotions et que cela se répercute directement sur notre caractère.

Ce n’est que lorsque l’on a fait un long travail de structuration de son corps astral que l’on peut en définir les contours avec plus de précision.

Lorsque l’on a une parfaite maîtrise de ses émotions, le corps astral peut émettre un rayonnement à plusieurs mètres autour du corps physique, un peu comme la forme d’un oeuf dont la pointe se trouve dans le prolongement des pieds.

Maîtriser ses émotions, ne signifie pas qu’il faille les refouler et devenir quelqu’un de froid, distant et insensible. Il s’agit au contraire, de connaître si parfaitement son corps astral que l’on puisse immédiatement détecter des taches grises ou brunâtres qui entâcheraient se voile délicat lorsque nous somme sous l’emprise de la colère, des soucis, des craintes, des peurs, afin de les contrer.

Ne jamais perdre de vue qu’il faut laisser son corps astral s’enrichir de toutes les émotions positives que nous pouvons ressentir.

La vie spirituelle est, quant à elle, intensément présente. L’intelligence comprend ce qui leur arrive, la volonté se porte vers tel ou tel choix. Mais le plus étonnant demeure sans doute l’apparition de propriétés parapsychologiques très intéressantes. Ce corps est fluide : il peut passer à travers les murs les plus épais, obéissant aux désirs de la volonté.

Ce corps est agile : il peut se déplacer à volonté avec une vitesse incroyable.
Ce corps est léger : il ne présente aucun des inconvénients du corps physique : fatigue, poids, inertie. Puisqu’il est soumis à la volonté, nous pouvons lui donné le nom de « corps spirituel ».
Ce corps est "parfait" : il ne présente aucun des handicaps du corps physique.
Enfin, ce corps est doué de perceptions extrasensorielles nouvelles et qui lui apparaissent comme naturelle. Des témoins prétendent non seulement entendre les paroles proférées autours d’eux mais lire directement les sentiments et les pensées de chacun. C’est une sorte de télépathie a sens unique puisqu’ils sont, quant à eux, incapables d’attirer l’attention de qui que ce soit.
Chaque personne, chaque objet, leur apparaît envoloppé d’une auréole de lumière aux couleurs vivantes ce qui rend leur perception de l’univers presque féerique. Selon les pensées et les sentiments de ceux qui sont dans la pièce ces couleurs prennent des nuances différentes.

Devant de telles propriétés, qui font davantage penser à un conte de fée qu’à la réalité, on serait tenté de rejeter tout cela dans le domaine imaginatif. L’hypothèse d’un effet psychique subjectif dû à la mort clinique à été émise mais elle ne tient pas car les récits liés à la décorporation ont une objectivité vérifiable.

Certains philosophes américains ont donc essayé de se pencher sur la question. Il leur est apparu d’abord que le phénomène de la décorporation n’est pas nouveau. La psychologie le décrit comme propriété de certains hallucinogènes puissants. D’autre part, de longs traités pluri-séculaires, écrits dans les traditions philosophiques chinoises, hindoues et tibétaines en parlent. C’est d’ailleurs là qu’on trouve les plus profondes explications philosophiques du phénomène.
Selon ces traditions, on peut discerner dans l’être humain trois degrés de vie auxquels correspondent trois corps parfaitement adaptés l’un à l’autre pour former une seule personne : le corps physique, le corps astral et le corps mental.

Nous l’avons vu plus haut c’est le corps astral qui donne à chacun sa perception du monde et le la vision qu’il en a. Non pas qu’il agisse comme un filtre optimiste qui ferait abandonner toute méfiance, tout esprit critique et nous rendrait vulnérable. Mais il permet de se faire une idée juste des choses, des situations et des gens, hors de tout instinct primaire, des procès d’intentions, des réactions craintives ou confiontes à l’excès.

La porte des émotions se trouve au niveau du Chakra du Plexus Solaire.

Le corps mental :



Le corps mental constitue la troisième couche de l’aura. Il s’étend au delà du corps astral, sa substance est plus fine encore et on l’associe aux pensées et au processus mental.

Moins dense que les deux corps précédents, le corps mental est aussi plus volumineux. Lorsque l’on en a une bonne maîtrise il peut atteindre plusieurs mètres. Sa fréquence vibratoire est plus élevée. Il est le siège de la pensée, de l’imagination, du savoir inné et acquis.

D’un aspect opaque, laiteux et souvent grisâtre - d’autres lui confèrent une couleur essentiellement jaune - on peut y voir les pensées se former, par bouffées de forme et de brillance variées. D’autres couleurs, émanant en même temps du plan émotionnel, se superposent à ces formes-pensées.La couleur additionnelle représente l’émotion qu’elles suscitent chez le sujet.

Le corps mental peut s’illuminer de couleurs vives lorsque l’on atteint les plus hauts degrés de la connaissance spirituelle.

Le corps mental est une zone de synthèse primordiale : les informations qui proviennent du plan physique sont presque toujours filtrées et déformées lors de leur passage dans le corps astral sous l’influence des émotions mal maîtrisées. C’est ainsi que les informations qui arrivent au corps mental, siège de la pensée rationnelle, sont bien interprétées rationnellement, mais sur des bases fausses. L’esprit propose alors au corps des solutions inadaptées provoquant des erreurs d’appréciation ou de comportement ou des phénomènes de rejet vis à vis de soi selon le principe qui dit que l’on fait son malheur soi-même.

La pensée rationnelle ne peut proposer des solutions adaptées que sur des bases exactes. C’est pourquoi il est nécessaire de bien savoir traiter le plan émotionnel, car c’est dans le corps mental que se fait la rencontre entre les informations qui montent du corps physique et celles qui proviennent des zones supérieures, c’est à dire du corps causal. C’est ainsi que s’organise la pensée rationnelle, l’imagination et la créativité, sur des bases exactes fertilisées par un apport spirituel.

Les pensées peuvent devenir une des forces des plus puissantes et par là même influencent nos vies. Le fait que nous n’avons que bien peu de renseignement sur le corps mental est peut-être dû, en partie, au fait que les êtres humains commencent à peine à développer leur corps mental et à user de leur intellect avec un peu plus de discernement.

"L’homme a vu son nombre de neurones plus que tripler en deux millions d’années", alors imaginons que nos neurones continuent à se multiplier, ne pensez-vous pas qu’il soit important d’être très conscients du rôle de l’activité mental ?

La porte du corps mental se situe au niveau du Chakra du Troisième Oeil.

Le corps causal ou gabarit kéthérique :

La septième couche est celle du corps causal qui est l’équivalent du plan mental dans le domaine plus élevé, plus "vibrant" des valeurs spirituelles. Le corps causal est aussi appelé gabarit kéthérique. Il s’étend de soixante-quinze centimètres à un mètre du corps, environ.

Si nous élevons notre conscience au septième niveau de l’aura, nous savons que nous ne faisons qu’un avec le Créateur. La forme extérieure de ce corps ressemble à un œuf et contient tous les corps auriques associés à la présente incarnation d’un être. Il constitue de ce fait un gabarit supérieurement structuré. Il apparaît sous la forme de minuscules filaments de lumière or et argent très stables, maintenant la forme entière de l’aura.
Il renferme la trame dorée du corps physique et de tous les chakras.

Quand on "s’accorde" sur la fréquence de la septième couche, on perçoit de belles lumières dorées et étincelantes.
Elles pulsent si vite qu’on les dirait chatoyantes, comme des milliers de fils d’or.
Le bord extérieur ressemble vraiment à une coquille œuf, d’une épaisseur allant d’un demi-centimétre à un peu plus d’un centimètre, paraissant très solide, élastique.
Il résiste à la pénétration, protège le champ aurique comme la coquille œuf protège le poussin.
A ce niveau de l’aura, tous les chakras, toutes les formes des corps emboîtés semblent faits de lumières d’or. C’est la couche la plus robuste, la plus tonique du champ aurique.

Ce corps, comparable à une onde lumineuse continue, vibre à une fréquence extrêmement élevé. Quand on l’observe, on peut presque en entendre le son.

Ce gabarit d’or contient aussi le courant central de force qui circule du haut en bas de la colonne vertébrale et alimente le corps entier, transporte l’énergie en passant par la racine des chakras et connecte ces derniers entre eux.
Le flux d’énergie vertical induit d’autres courants perpendiculaires pour former des flèches d’or qui fusent à l’extérieur du corps.
Celles ci induisent à leur tour d’autres courants qui encerclent entièrement le champ aurique, de sorte que toutes les couches constitutives sont maintenues dans ce réseau comme dans une corbeille.
Ce réseau témoigne de la puissance de la lumière d’or, de l’esprit divin qui confère au champ total sa cohérence et son intégralité.

De plus, à l’intérieur de la coquille œuf, dans cette couche kéthérique, résident aussi les séquences des vies antérieures.
Ce sont des bandes de lumières colorées encerclant complètement l’aura et que l’on retrouve sur toute la surface de la coquille, qui s’en trouve comme striée.
Le ruban lumineux qui entoure la zone du cou et de la tête est, en général, la bande qui contient la vie antérieure sur laquelle on travaille pour éclaircir les situations de la vie présente.

Le corps causal réduit à la portion congrue quand on ne connait pas l’’éveil spirituel, le corps causal peut avoir des dimanesions gigantesques et rayonner à plusieurs kilomètres autour le l’individu lorsque celui-ci a atteint les plus haut degrés de la spiritualité.

Sa fréquence vibratoire est la plus élevée de tous les corps énergétiques qui composent l’aura. Il est le siège de la lumière immaculée et brillantes dans laquelle évoluent des circonvolutions iridescentes et mouvantes. Il est le réceptacle des énergies cosmiques et du savoir universel. Ces flux irriguent les trois autres corps grâce au champ d’influence d’un corps causal harmonieusement développé. C’est ainsi que tous les corps énergétiques peuvent agir au plus haut niveau de leurs capacités car leurs fréquences vibratoires sont élevées au maximum possible grâce au développement du corps causal.

C’est aussi grâce au développement du corps causal que l’on peut atteindre les plus haut degrés de sagesse, d’amour et de bien-être dans un art de vivre d’une extrême richesse.

La porte du corps causal se situe au niveau du Chakra du Sommet.